EN BREF.
C'était un mardi matin, à l'aube de l'aurore matinale que vit le jour la jeune Kara C. Hunderson. Une naissance douloureuse avait conclu sa mère. Déjà la vie semblait facile pour la jeune demoiselle. Son père, qui travaillait dans l'armée durant la première guerre mondiale, ne fit pas très présent pour sa petite fille. Jeanne, la mère de Kara, semblait quand même forte pour protéger sa progéniture. La guerre semblait impertinemment trop destructrice pour rester dans la petite maison située près des territoires Nazis. Elle ne pouvait pas risquer sa vie avec ses parents en restant au même emplacement. Un jour de mai, des Nazis découvrirent la cachette secrète de la petite famille; ils allèrent ainsi dans un camp de concentration. Sa mère subit des blessures et trouva même la mort. Kara, elle, put ainsi être libérée lors de la fin de la guerre. Jamais elle n'oublira ce moment. Lors de ses 18 ans, elle rencontra son âme soeur et se fit violer. Elle se sentait tellement démunie; elle n'oublia rien. Quand un traumatisme surgissait dans sa vie, elle ne pouvait peine espérer ; elle n'oublirait jamais. Kara avait trouvé un totem très spécial un jour d'été, à ses 22 ans. Elle se retrouva ainsi dans un monde imaginaire tellement... spécial. Elle sentait la chaleur sur ses pieds, elle aimait cette vie. Déjà elle se sentait libérée de son passé, mais dut y faire fasse plusieurs fois lorsqu'elle se rendit compte que la majorité des personnes habitants dans ce monde était des garçons. Elle rencontra Céline, une personne avait qui elle partage tout, et Alex, qui lui fait du charme. Elle prend un peu ses distances mais bon, elle conclut que l'amour n'est pas pour tout de suite. Ce monde avait été créer seulement pour eux, et elle se sentait mal d'avoir laisser son père seul dans le monde des ennemis, mais elle n'avait pas le choix : la liste de présence était quasiment complète, et la nouvelle vie allait bientôt débuter pour les jeunes adultes qui hébergeait dans le monde.
SA VIE EN DÉTAILS.
Allez Dorothée, tu y es presque mon amour...Mon père tenait fermement la main de ma tendre mère, suppliant Dieu afin qu'il laisse sa progéniture sortir du ventre de sa bien-aimée. Les douleurs que ressentaient ma maman la désarmait; la science n'était pas à son comble dans ces années-là. Plus je refusais de sortir, moins les chances que ma mère avait de survivre diminuait. Déjà, elle était à bout; elle n'avait plus aucune force. Les médecins allaient bientôt obtempérer à ma naissance; il allait aider ma mère de la manière la plus déplaisante. Je n'avais qu'une seule idée en tête; rester dans le ventre de celle qui m'a nourrit, hébergée et aimée depuis 8 mois et 29 jours. Soudainement, une poussée infaillible ne put me retenir plus longtemps; je sentais l'air humide et la chaleur du monde humain. Couverte de sang, je ne pus m'empêcher de pousser des cris désarçonnants puisque je venais d'entrer dans un monde qui n'était point le mien. Une habitude allait devoir entrer dans mon futur mode de vie.
C'est une petite fille, madame., avait prononcé le docteur, tout comblé pour ma mère.
Je sentis la main fragile et tremblante de ma mère se poser sur ma tête lourde. Les cris continuaient de charmer ma maman, qui pleurait maintenant de joie. Mon père, qui était revenu de Pologne seulement pour ma naissance, ne put aussi s'empêcher de sangloter puisqu'il savait que cette journée allait être la dernière passée avec sa petite fille. Déjà mon nom était choisi : Karalyn. Un baiser doux de la part de mon papa se posa sur le front de ma mère, qui ne pleurait plus de joie. C'est ainsi qu'il s'éloigna de moi et de la chambre, quittant les lieux paisiblement, espérant un jour retrouver sa tendre épouse et sa petite fille. Le docteur me prit ainsi dans ses bras, m'emportant dans la pouponnière, loin des bras de ma mère. Déjà elle sentait qu'elle avait perdu son mari, et sa progéniture pour quelques jours.
Quelques jours après ma naissance, ma maman quitta l'hôpital tout en étant très mal en point. Elle savait que les Nazis rattraperaient bientôt la petite ville déserte, et ça n'enchantait pas du tout les habitants qui commençaient déjà à quitter leurs nids. Les polices étaient à l'afflût des partisans, et suppliaient les gens de se cacher dans une maison déserte; à l'abris des Nazis. Ma mère et mon père, durant la grossesse, avait construit une caverne derrière un buisson très gros qui ne démontrait aucune trace de vie. De la nourriture et plusieurs meubles avaient été déplacé dans cet endroit ce qui fut très rassurant pour la famille. Le premier endroit où maman eut allé était dans cette caverne, avec moi, prête à vaincre le danger.
T'inquiète pas ma belle... T'inquiète pas...Ces paroles, qui était supposées rassurée sa progéniture, n'était qu'une controverse pour se rassurer elle même. Nous devions passer une éternité dans ce trou, et ma mère commençait déjà à faire une dépression. Les sirènes de polices retentissaient et les alarmes aussi. Comment faire pour ne pas paniquer dans des situations comme celles-ci ? Et bien moi j'y arrivait ; seulement je n'étais pas consciente de cette situation. Trois ans après s'être caché dans cette caverne, nous entendîmes des pas autour de la caverne et des mots d'une langue étrangère ; celle des nazis. Ma mère pria pour ne pas qu'ils découvrent notre cachette. Nous entendîmes des cris sournois et la lumière se mit à éclairer nos visages; la mort était près de nous. C'est alors qu'un homme vêtu d'un habit digne d'un guerrier nazi prit follement ma mère et un autre me prit dans ses bras. Ma mère criait de toutes ses forces.
Non ! C'est ma fille ! Non !Ces mots se répétèrent sans cesse dans ma tête... Je ne pus oublié ce passage. Ils me déportèrent dans un camp de concentration puisque ma souffrance n'était pas à bout; je n'avais que 3 ans et demi. Quand j'arrivai dans ce camp, ils me placèrent dans une chambre étanche et je n'étais pas seule, une jeune fille de 5 ans et deux garçons de 8 ans m'accompagnaient. Ils avaient des blessures sur le corps, ils étaient maigres comme un cure-dent et ils étaient démunis. Je me demandais si celle aventure allait me suivre aussi. C'est alors que l'un d'entre eux m'interpella; c'était la petite fille.
Comment tu t'appelles...Je ne sus répondre; ma mère ne m'avait à peine appris à parler. Je baffouillai quelques syllabes; c'est pour cela que mon nom était devenu Kara. Je pensais que ce camp allait m'apporter des choses nouvelles. Pour le déjeuner, on mangeait de la bouillie, enfin, quelque chose qui ressemblait à du gruau séché. Quand nous refusions de manger ce repas, des coups de fouets et des cris mortels languirent. Je ne pouvais imaginer la vie d'une telle façon...Quatre ans plus tard, l'Union Soviétique débarqua dans la Pologne, tuant tous les méchantes personnes qui avaient osé kidnappé des enfants et des adultes. J'avais compris à mes 7 ans ce qui s'était vraiment produit. On m'envoya dans l'Ohio, dans une famille d'accueil pour que je m'habitue à la vie normale. J'allais à l'école, mais je ne pus m'empêcher de raconter aux gens ce que j'avais vécu. Plusieurs années plus tard, je rencontrai un garçon qui était très gentil. Avant ces années, l'amour n'eut jamais existé pour moi. C'est alors que je découvris comment faire l'amour... enfin, je ne voulais pas vraiment. Je me suis fait violée par ce type; je lui en voulait à mort. Malheureusement, les droits de la personne n'était pas assez évolué pour me défendre.
Un jour d'automne, lors d'une promenade sur Boulevard Rivert, j'aperçu au loin, près de la forêt noire, un totem. Un totem bien étrange, qui m'apparaissait comme un arbre au milieu d'une foule de personne. Je m'approchai lentement, observant tous les détails et les trais. Une barrière le clôturait, et aucune personne ne pouvait s'en approcher. Moi, curieuse, montai par dessus, et seulement pour voir, je le touchai. Je sentis une vague de vents et de tourbillon m'emporter et je ne vis que du noir. Lorsque je me réveillai, je m'aperçu que j'étais sur une plage, plutôt moderne. Je me levai... Et constatait que j'étais ailleurs, dans une autre vie. Dans un autre monde...
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